Blog de la formation professionnelle
Veille juridique, ingénierie pédagogique, prise de notes - Méthode PAT, rédaction, écrits divers personnels.
lundi 27 avril 2020
dimanche 25 novembre 2018
Vents contraires
Les premiers rayons de soleil dardent et attisent les mortes branches
De chaque arbre tour à tour éclosent fleurs et feuilles
Mon âme engourdie encore en deuil
cherche la résurrection vivifiante
de la nature environnante
Je peux le sentir dans l’air venir me cueillir
ce chaud souffle réveillant l’avenir
Je le respire au plus profond de mon être
tout en somnolant indolente dans ce bien être
Moments d’apnées et d’attentes
mes rêves semblent figés et tentent
de retrouver le chemin de mes prochaines aventures
la porte ouverte vers un lointain futur
Les vents contraires m’enchantent et me hantent
Où irai-je ? Que ferai-je ? Qui aimerai-je ?
Serai-je aimer ? Serai-je indifférente ? Qui serai-je ?
Petite fille sauvage et femme aimante
Crépuscule et renaissance
Aube d’une ère nouvelle
d’une essence sans pareille
Patricia Richard
28 mai 2018
De chaque arbre tour à tour éclosent fleurs et feuilles
Mon âme engourdie encore en deuil
cherche la résurrection vivifiante
de la nature environnante
Je peux le sentir dans l’air venir me cueillir
ce chaud souffle réveillant l’avenir
Je le respire au plus profond de mon être
tout en somnolant indolente dans ce bien être
Moments d’apnées et d’attentes
mes rêves semblent figés et tentent
de retrouver le chemin de mes prochaines aventures
la porte ouverte vers un lointain futur
Les vents contraires m’enchantent et me hantent
Où irai-je ? Que ferai-je ? Qui aimerai-je ?
Serai-je aimer ? Serai-je indifférente ? Qui serai-je ?
Petite fille sauvage et femme aimante
Crépuscule et renaissance
Aube d’une ère nouvelle
d’une essence sans pareille
Patricia Richard
28 mai 2018
Un de ces jours
C’était un de ces jours malsains
Jean-Jacques Goldman l’a écrit
Un matin qui ne sert à rien.
L’écho des mots que vous m’avez dits
M’a redonné l’espoir,
L’envie d’y croire.
Vous montriez une femme forte,
Riant de ses erreurs,
Animant une assemblée morte,
Prononçant les phrases avec bonheur :
Compétences retrouvées
Travail à la clé !
C’était un de ces jours sans fin
Jean-Jacques Goldman l’a écrit
Ce matin c’est le tien, le mien.
Nos regards échangés ont tout dit
L’âge, le sexe balayés,
Belle complicité !
Vous évoquiez vos enfants,
Votre vie privée.
Aux questions posées répondant
Par des mots poliment énoncés,
Sensible, vous dévoiliez
Votre passé.
C’était un de ces jours cléments
Il fallait que je confronte
Mes vieilles idées au présent.
Hésitante, perdue dans le décompte
De mes peurs passées,
Vous m’attendiez.
Patricia Richard
16/02/18
Jean-Jacques Goldman l’a écrit
Un matin qui ne sert à rien.
L’écho des mots que vous m’avez dits
M’a redonné l’espoir,
L’envie d’y croire.
Vous montriez une femme forte,
Riant de ses erreurs,
Animant une assemblée morte,
Prononçant les phrases avec bonheur :
Compétences retrouvées
Travail à la clé !
C’était un de ces jours sans fin
Jean-Jacques Goldman l’a écrit
Ce matin c’est le tien, le mien.
Nos regards échangés ont tout dit
L’âge, le sexe balayés,
Belle complicité !
Vous évoquiez vos enfants,
Votre vie privée.
Aux questions posées répondant
Par des mots poliment énoncés,
Sensible, vous dévoiliez
Votre passé.
C’était un de ces jours cléments
Il fallait que je confronte
Mes vieilles idées au présent.
Hésitante, perdue dans le décompte
De mes peurs passées,
Vous m’attendiez.
Patricia Richard
16/02/18
Trésors
J’ai souvent contemplé les eaux calmes
Pour apaiser les tumultes de mon âme.
O toi, ma douce, ma belle, mon amie d’enfance
Qui tremble devant tant d’indifférence,
Tu es la vie !
Et les flots de ta colère
Résonnent et m’enserrent
Révélant des trésors enfouis.
Assise en tailleur sur mon coussin soyeux
J’ouvre mon coeur et je ferme mes yeux.
O toi, mon espace intérieur accueillant
Qui me contemple bienveillant
Comme je revis !
Mes préceptes rigides s’enfuient
Mon souffle paisible m’envahit
Révélant des trésors enfouis.
Tu es venu, je t’ai reconnu,
Ta douceur et ta foi m’ont convaincue.
O toi, mon amour, mon frère, mon chéri
Noyé dans ta tristesse infinie
Tu es la vie !
Et nos corps entrelacés
Trouvent l’abri où s’abreuver
Révélant nos trésors enfouis.
Patricia Richard
15/02/18
Pour apaiser les tumultes de mon âme.
O toi, ma douce, ma belle, mon amie d’enfance
Qui tremble devant tant d’indifférence,
Tu es la vie !
Et les flots de ta colère
Résonnent et m’enserrent
Révélant des trésors enfouis.
Assise en tailleur sur mon coussin soyeux
J’ouvre mon coeur et je ferme mes yeux.
O toi, mon espace intérieur accueillant
Qui me contemple bienveillant
Comme je revis !
Mes préceptes rigides s’enfuient
Mon souffle paisible m’envahit
Révélant des trésors enfouis.
Tu es venu, je t’ai reconnu,
Ta douceur et ta foi m’ont convaincue.
O toi, mon amour, mon frère, mon chéri
Noyé dans ta tristesse infinie
Tu es la vie !
Et nos corps entrelacés
Trouvent l’abri où s’abreuver
Révélant nos trésors enfouis.
Patricia Richard
15/02/18
Magnolia
Quand au-delà des souffrances de la vie
Je décide de refaire surface
Je dépose les armes de guerre lasse
Au point de non retour de ma solitude subie
Quand au matin, la froidure du monde m’étreint
Les profondeurs noires de mes rêves
Mêlés à l’âcreté de la sève
Font écho à la douleur au creux de mes reins
L’éphémère floraison du magnolia
Teinte le ciel gris de sa douce harmonie
Les gerbes d’or des forsythias
Eclairent la nature endormie
Une petite voix tinte à mon oreille
Chercheuse de mots en veille
Bientôt phrases porteuses de sens
Imposant leurs cadences
Nourrissant mon esprit endolori
Et mon corps alangui
Patricia Richard
05/04/18
Je décide de refaire surface
Je dépose les armes de guerre lasse
Au point de non retour de ma solitude subie
Quand au matin, la froidure du monde m’étreint
Les profondeurs noires de mes rêves
Mêlés à l’âcreté de la sève
Font écho à la douleur au creux de mes reins
L’éphémère floraison du magnolia
Teinte le ciel gris de sa douce harmonie
Les gerbes d’or des forsythias
Eclairent la nature endormie
Une petite voix tinte à mon oreille
Chercheuse de mots en veille
Bientôt phrases porteuses de sens
Imposant leurs cadences
Nourrissant mon esprit endolori
Et mon corps alangui
Patricia Richard
05/04/18
Jardin d'été
Le ciel pommelé accompagne ma rêverie
Le jardin ensoleillé abrite mes pensées
Ma main soutient agapanthes et rosiers
J’erre dans mon lieu secret, ma villa Médicis
Une musique douce émane de l’auvent
Puis une voix s’élève dans la clarté du jour
Et vogue mon esprit attiré par l’amour
De l’instant nimbé de charmes évanescents
Tu as répondu à mon souhait d’éloignement
Ce moment précieux m’appartient à tout jamais
Je dérive - mon âme vagabonde décidant
Des mouvements de ma boussole et ses effets
Dans cet espace de liberté qui m’encercle
Mes yeux écoutent et mes oreilles voient
Mon coeur battant à l’unisson de la terre
Est couché sur le tapis de mousse en soie
La fraîcheur de l’herbe sur mon visage voilé
L’odeur du jeune printemps à l’humus mêlé
Ravivent mes sens et me laissent livrée
A une joie incommensurable et enivrée
Ma solitude, mon équilibre, ma bien aimée
Viens faire tomber les murs de béton
Tels ceux d’une prison gangrenant mon moi profond
Viens rêver avec moi dans mon jardin d’été
Patricia Richard
15 mars 2018
Le jardin ensoleillé abrite mes pensées
Ma main soutient agapanthes et rosiers
J’erre dans mon lieu secret, ma villa Médicis
Une musique douce émane de l’auvent
Puis une voix s’élève dans la clarté du jour
Et vogue mon esprit attiré par l’amour
De l’instant nimbé de charmes évanescents
Tu as répondu à mon souhait d’éloignement
Ce moment précieux m’appartient à tout jamais
Je dérive - mon âme vagabonde décidant
Des mouvements de ma boussole et ses effets
Dans cet espace de liberté qui m’encercle
Mes yeux écoutent et mes oreilles voient
Mon coeur battant à l’unisson de la terre
Est couché sur le tapis de mousse en soie
La fraîcheur de l’herbe sur mon visage voilé
L’odeur du jeune printemps à l’humus mêlé
Ravivent mes sens et me laissent livrée
A une joie incommensurable et enivrée
Ma solitude, mon équilibre, ma bien aimée
Viens faire tomber les murs de béton
Tels ceux d’une prison gangrenant mon moi profond
Viens rêver avec moi dans mon jardin d’été
Patricia Richard
15 mars 2018
Clair-obscur
Instants de vie démodés
Comme un vêtement élimé
Qui attend d’être jeté
Notre histoire se meurt et s’éteint
Je regarde nos coeurs ternir son écrin
Précipitée dans mes nuits
Je disparais sans bruit
Mais à mon réveil je crie
L’amour sourd qui ne répond plus
Celui qu’un jour j’avais tant attendu
Le désert du lit trop grand
Les murs aux silences pesants
Fixent mon tourment béant
Tu ne pourras pas me retenir
Là se profile l’arc-en-ciel à venir
Déjà s’alanguit mon sommeil
Un homme sur mes rêves veille
A son regard je m’éveille
Fragile retranchée en exil
Encapuchonnée dans mon domicile
Le clair-obscur de ma vie
Ravivé par sa poésie
Son souffle chaud sur ma peau
Monte le désir de renouveau
Myriade de joyaux balayant mes maux
Je pourrais l’attendre sans fin
Lui rendre ses baisers câlins
Mais je dois tenir sa main
Sans regarder en arrière
Chasser jusqu'à l’ombre de ton enfer
Patricia Richard
24/02/18
Comme un vêtement élimé
Qui attend d’être jeté
Notre histoire se meurt et s’éteint
Je regarde nos coeurs ternir son écrin
Précipitée dans mes nuits
Je disparais sans bruit
Mais à mon réveil je crie
L’amour sourd qui ne répond plus
Celui qu’un jour j’avais tant attendu
Le désert du lit trop grand
Les murs aux silences pesants
Fixent mon tourment béant
Tu ne pourras pas me retenir
Là se profile l’arc-en-ciel à venir
Déjà s’alanguit mon sommeil
Un homme sur mes rêves veille
A son regard je m’éveille
Fragile retranchée en exil
Encapuchonnée dans mon domicile
Le clair-obscur de ma vie
Ravivé par sa poésie
Son souffle chaud sur ma peau
Monte le désir de renouveau
Myriade de joyaux balayant mes maux
Je pourrais l’attendre sans fin
Lui rendre ses baisers câlins
Mais je dois tenir sa main
Sans regarder en arrière
Chasser jusqu'à l’ombre de ton enfer
Patricia Richard
24/02/18
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